Oh please Baby can U touch me (xD)

les mots, la tendre étreinte et les caresses de sa mary, sa femme, sa déesse, le rendaient fébrile et il avait peur de devenir trop imprécis, de perdre le peu de sang froid qu'il réussissait à garder et qui lui coûtait des efforts incomensurables. Ses hanches suivèrent elles mêmes un mpouvement déjà rapide et appuyé dans le corps chaud et douillet de Mary. S'il avait été en toute possession de ses moyens, il aurait sans doute voulu ralentir les choses, aller plus doucement, faire durer le plaisir et surtout être plus doux. mais il en était purement incapable. Il voyait le visage de mary souriant et toujours aussi merveilleux et son corps agissait pour lui.

Les mouvements de Kevin commençaient déjà à lui faire perdre la tête et elle ferma les yeux qui, de toute façon, ne tenaient déjà plus ouvert tant le plaisir était intense. Elle commença à donner de petits coups de bassins, d'abord doucement, puis de plus de plus en plus intensément. Comme à chaque fois qu'ils se retrouvaient dans cette situation elle n'arrivait plus à se contrôler totalement, alors elle se contentait de suivre le rythme imposé par son mari. Elle descendit lentement ses mains de son dos à ses fesses et elle les caressa tendrement, le plus habillement possible.

Tous ses sens arrivèrent à ébulition lorsque sa femme caressa la peau de ses fesses. Il se stopa un instant fermant les yeux pour apprécier la douceur des mains de Mary. Elle savait, elle avait toujours su, que ce contact l'emmenait à une vitesse folle sur cette autre planète de plaisir et de bonheur qu'ils exploraient ensemble chaque fois que leurs corps avaient l'enchantement de se réunir. Un fin soupir lui échapa et il recommença ses mouvements, plus lents, comme appaisé par ces caresses douces et tranquilles.

- Mary... Ma bien aimée, ma femme, je t'aime... Je t'aimerais toujours, je sais, j'ai toujours su que rien ne pourrait jamais nous séparer parce que notre amour est plus... fort que... Tout...

Des gémissements rauques forçaient déjà la barrière de ses lèvres et ses yeux ne pouvaient plus se tenir ouverts. Pourtant, ses mouvements s'accéléraients et sa langue, toujours aussi habile ne cessait sa danse avec celle de la jeune brune que pour lui sussurer de douces paroles.

Les mots de son mari lui firent tourner la tête encore un peu plus, et elle remonta ses mains dans son dos et jusqu'à son visage qu'elle prit en coupe pour l'embrasser passionément, cherchant ainsi à lui transmettre tout son amour, tout ces sentiments qu'elle ressentait à son égard. Elle se mordit la lèvre sous l'effet de ses vas et viens et des mots doux qu'il lui sussurait au creux de l'oreille et elle se remit à onduler du bassin, suivant ainsi la cadence imposée par Kevin. Bien qu'elle aurait voulu que ce moment dure indéfiniment elle sentait déjà que le septième ciel se rapprochait à grands pas, ce qui la fit se cramponner au dos de son mari instinctivement.

Le nos de Kevin et le bas de son ventre se réchauffaient à grande vitesse. Ses bras et ses jambes tremblaient et il sentit que se pieds se tendaient avec crispation. Il voyait Mary, la sentait, entendait ses soupirs et ses gémissement, il la touchait même avec la plus grande douceur dont il était capable et son pauvre corps d'homme ajouté à son âme brûlaient littéralement. Il eut un gémissement, mêlé à un cri retenu, exprimant son plaisir lorsque du bout des doigts il toucha le paradis et finit par s'y propulser tout entier. Les forces lui manquèrent mais il continua ses mouvements cadencés pour offrir à sa femme le même plaisir qu'elle lui donnait.

Le plaisir qu'elle ressentait depuis plusieurs minutes s'intensifia quand Mary comprit que son mari venait d'atteindre le summum et il ne lui fallu pas plus que quelques coups de bassin pour qu'elle le rejoigne tout en laissant échapper un long gémissement à peine plus sonore que ceux qu'elle avait poussés avant. Elle passa ses bras dans le dos de son mari et le serra de toutes ses forces contre elle, l'embrassant tendrement au passage. Elle rouvrit doucement les yeux pour le contempler alors qu'elle tentait vainement de reprendre son souffle et elle sourit. Qu'est-ce que ces moments là avec lui lui avaient manqué, c'était inimaginable!

Bientôt, il s'allongea à côté de Mary, tout contre elle, autant que possible à vrai dire. Il réalisait qu'être près de Mary le rendait heureux et que sans elle il se sentait vide, inutile et perdu. Chaque fois qu'il rentrait à Philadelphie, il avait l'impression de se retrouver, d'être lui à nouveau, comme si on lui avait empêché d'être lui-même pendant un long moment et qu'enfin on lui permettait de l'être encore. Il se sentait comme un puzzle et Mary était sa piece manquante.

- Tu réalises qu'on est mariés et que c'est tout ce que j'ai toujours voulu? C'est plus que la réalisation d'un rêve... J'ai enfin trouvé la femme qu'il me fallait et je l'aime comme un fou depuis bientôt huit ans... Et elle m'aime et on est mariés...

Dès qu'il fut allongé à ses côtés et elle le ressera contre elle à nouveau. Il lui avait tellement manqué, à présent elle ne voulait plus le quitter. Elle voulait le sentir contre elle le plus possible. Ses mots la firent sourire, et son coeur se remit à battre la chamade. Kevin lui disait souvent qu'il l'aimait et à quel point elle était importante à ses yeux, mais il lui disait un peu plus rarement qu'il prenait leur vie de couple comme la réalisation d'un rêve. Elle posa sa tête sur son épaule qu'elle embrassa doucement tout en caressant son torse.

Mary : Tout est vraiment parfait depuis qu'on est ensemble. Si tu savais comme je suis fière d'être ta femme, dire que je t'aime c'est .. je ressens tellement de choses pour toi! Quoi qu'il arrive, tu restera toujours l'unique amour de ma vie.

Il sourit et ferma les yeux, caressant doucement ses cheveux. Il n'avait pas l'impression d'avoir besoin des frasque hollywoodiennes que pouvaient lui offrir sa célébrité. Il ne ressentait même pas la moindr eenvie de faire la fête et de boire ou danser jusqu'à des heures incroyables. Il avait juste cette nécessité de serrer sa femme contre lui, l'entourer de ses bras et ressentir sa chaleur contre son torse, contre sa joue, contre ses jambes... La présence de Mary était appaisante en même temps qu'elle le rendait fou. C'était un paradoxe exaltant, une contradiction magique qui formait un coktail dont, à présent, il ne pouvait plus se passer.
Ses bras musclés et forts entourèrent à nouveau Mary et il la serra un peu plus fort. Juste assez pour recréer entre eux une douce chaleur, sentir plus en core son petit corps. Les boucles brunes de la jeune femme frôlaient son visage et il avait comme l'impression que des anges caressaient ses joues. Son sourire serein restait figé sur son visage, traduisant l'infini bonheur qui l'emplissait et ses yeux refusaient de s'ouvrir. Il voulait s'imprégner de cet instant au maximum.

» Hey Baby !